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Accueil > Histoire > Les impôts à Tourtour, avant la Révolution .
Dernier ajout | 30 décembre 2009
Publié par Gilbert Giraud | mercredi 30 décembre 2009
L’afforage, le vinage,
le pontenage, le tonlieu .
La France est, dit-on, le pays européen qui perçoit actuellement le plus de taxe imposées aux habitants, sous toutes les formes . Avant la Révolution Française, les habitants des villages croulaient également sous les impôts que réclamait le seigneur et toutes les raisons étaient bonnes pour instituer une nouvelle taxe puisque les villageois n’avaient aucun moyen de se défendre . Heureusement, à cette époque où les campagnes varoises vivaient aussi de (...)
Publié par Gilbert Giraud | mercredi 16 décembre 2009 | Mis à jour le mardi 8 mars 2011
La corvée, le cens, l’octroi
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A Tourtour, nous payons, comme ailleurs, des impôts nationaux, régionaux, départementaux et locaux qui sont calculés selon des critères définis par les diverses institutions politiques : autrefois, les tourtourains furent soumis à des taxes souvent injustes qui étaient perçues par les seigneurs et qui pesaient lourdement sur les budgets des familles modestes.
Malgré le manque de justice sociale de ces taxes (aucun calcul proportionnel, aucun dégrèvement..) il faut (...)
Publié par Gilbert Giraud | samedi 5 décembre 2009
La taille, la dîme .
Au Moyen-Âge et jusqu’à la Révolution de 1789, les habitants de Tourtour furent soumis à de nombreux impôts qui pesaient énormément sur les ménages car ils étaient très élevés et ne tenaient compte d’aucune réalité particulière pour effectuer des dégrèvements : la taille et la dîme étaient deux impôts importants qui ont duré des siècles . La noblesse, le clergé, les seigneurs faisaient crouler les paysans sous le poids des dettes et la condition rurale était misérable. A cette époque-là, ils (...)